Après des débuts professionnels en tant qu’ingénieur réseaux dans les télécoms, Jean-Philippe est entré de plein dans le Risk Management en 2014.

Une aventure qui se poursuit et dans laquelle, grâce à une belle évolution, il s’épanouit pleinement. Un très joli début de carrière qui permet de mieux comprendre les métiers du Risk Management.

La rencontre avec le Risk Management

Jean-Philippe a commencé sa vie active comme ingénieur dans un bureau d’études, pour le secteur des télécoms. Un métier technique dans lequel il découvre vite une routine pour laquelle il ne se sentait pas fait.

A la recherche d’une nouvelle opportunité, qui soit plus en phase avec son tempérament et avec plus d’interactions humaines, Jean-Philippe va tenter une première expérience dans le conseil. C’est ainsi qu’il entre chez Stanfeel Conseil en 2014 – qui intègrera le groupe Blue Soft en 2016 – et réalise ses premières missions en tant que Consultant en continuité d’activité et datacenters.

Les différentes étapes de l’évolution de carrière dans le Risk Management

Dans les métiers du Risk Management, l’évolution est structurée et dépend beaucoup de l’expérience des Consultants.

  • Consultant junior : les premiers pas dans le métier, accessible aux jeunes diplômés.
  • Consultant confirmé : après quelques années d’expérience, le consultant gagne en responsabilités, en équipe avec un manager.
  • Senior consultant : le consultant est en autonomie complète
  • Manager : transmettre et développer sont au cœur du poste.
  • Senior Manager : capable de gérer plusieurs équipes.
  • Directeur : gère tout un service, toute une business unit.

Chez Blue Soft, les aptitudes humaines sont aussi des facteurs importants de cette évolution. Dans ces métiers, la relation client, le travail en équipe et l’autonomie sont des qualités qui permettent d’effectuer rapidement la transition d’un grade à l’autre.

Jean-Philippe nous raconte comment il a vécu ces transitions.

« Comme je n’étais pas complètement débutant, et que je maîtrisais les notions techniques de mon poste, je suis entré directement au grade de Consultant confirmé. Mais j’ai appris un métier complètement différent, et notamment dans sa forme, qui repose beaucoup sur la relation client et le travail en équipe. J’ai donc fait mon apprentissage, et les premiers temps j’avais le sentiment d’être une charge plus qu’une ressource utile ! Mais mon Manager m’a vite rassuré. Chez Blue Soft, les collaborateurs sont vus comme un investissement sur l’avenir. Le groupe mise sur nous sur le long terme.

Cette vision me convient parfaitement et m’a permis de franchir cette première étape avec succès, vers le grade de Consultant senior. J’avais cette fois l’occasion de mettre en pratique ce que j’ai appris. Je me sentais confiant dans les compétences et autonome, mais encore relativement « passif ». J’exécutais un plan mais ma prise d’initiative n’était pas encore développée. C’est en devant Manager que j’ai atteint cet objectif. »

De Consultant à Manager, de grands changements

« En devenant Manager, la principale différence que je perçois est qu’on ne me demande plus de « faire mon travail », mais d’être un élément complet et intégré de l’activité au sein du groupe », poursuit Jean-Philippe.

En effet, le grade de Manager comporte de nouvelles responsabilités. Outre le fait d’accompagner les clients ; le Manager va plus loin dans l’écoute des besoins, avec une vision globale. Il va ainsi être en mesure de moduler la mission pour répondre pleinement à la problématique.

« Aujourd’hui, lorsqu’au cours d’une mission on me demande une chose, mon rôle c’est d’avoir un regard critique sur la demande et sa mise en œuvre. Par exemple, dans ma mission actuelle, plutôt que de préparer et exécuter des plans de secours informatiques, je vais conseiller le client sur la série de tests à mettre en place en amont. Je me sens beaucoup plus moteur, à la fois pour le client et pour Blue Soft. »

Chez le client, cette transition s’est opérée naturellement, mais elle est visiblement actée. Expert des métiers de la Banque, Blue Soft a confié une mission de longue durée à Jean-Philippe dans ce secteur, chez un grand compte. Alors qu’il y était consultant depuis 18 mois, l’annonce de son passage de Consultant à Manager a provoqué un déclic côté client. Attentif à ses recommandations, le client a également confié à Jean-Philippe la formation d’autres consultants de l’équipe. Découvrez l’importance de la mise en place du contrôle interne et du risk management pour les entreprises.

Trois objectifs de progression du Risk Management

Dans son poste de Manager, Jean-Philippe est également amené à plus s’impliquer dans la vie de l’activité Risk Management du groupe, et contribue à son développement sur 3 axes.

Les ressources humaines

C’est l’aspect le plus nouveau de son rôle. Désormais notre jeune Manager participe au processus de recrutement. Son rôle est d’évaluer les candidats selon la stratégie définie par le groupe, en termes de profils et de compétences. Il analyse les parcours, valide les aptitudes et détermine si cela correspond bien à la culture Blue Soft.

« C’est parfois difficile de faire adhérer tous les nouveaux collaborateurs à notre vision de notre métier. C’est parfois une problématique générationnelle, les candidats seniors et juniors n’ont pas tout à fait les mêmes attentes, ni la même capacité à appliquer la méthodologie Blue Soft, qui n’est pas forcément la même dans tous les cabinets de conseil. C’est un point stratégique à déterminer, et c’est très intéressant ! », commente Jean-Philippe.

Le développement

Développer l’activité, cela passe par de nouvelles missions et de nouveaux clients. Et le développement fait partie des objectifs du Manager. « Il n’y a pas de relais commercial au Risk Management, chez Blue Soft. Ce sont les Managers et les Directeurs qui vont chercher de nouvelles missions ». Un domaine qui permet à Jean-Philippe de s’épanouir dans le relationnel, même si c’est un peu un baptême du feu pour lui. « Heureusement, on construit des méthodes autour de cet objectif. », reprend-il. « On a un réseau, des formations et des clients sur lesquels d’appuyer. On commence par aborder les clients qui nous connaissent déjà, cela nous permet de nous familiariser avec ce nouvel aspect du métier. »

Le management

La transmission de l’expertise métier du Risk Management fait pleinement partie de la mission du Manager. Jean-Philippe est donc amené à accompagner les consultants qui entrent dans le groupe pendant leurs premières années. Là aussi, cette dimension nouvelle repose beaucoup sur les relations humaines, et les échanges sont enrichissants, car les profils sont très diversifiés.

Explorer de nouveaux sujets

Si la progression d’un grade à l’autre est assez naturelle et repose surtout sur l’acquisition d’expérience, cela n’empêche pas Jean-Philippe d’avoir encore soif de nouveaux territoires. Aujourd’hui expert PCA et Datacenters, il a encore de nouvelles pistes à explorer pour connaître les autres facettes du Risk Management. « Je m’intéresse beaucoup au contrôle interne, qui est assez différent du PCA. Et j’aimerais aussi beaucoup explorer la Cyberésilience, qui permet à une entreprise d’assurer la continuité de son système d’information, même en cas d’attaque. ».

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